lundi 11 juin 2012

Prière pour mes ennemis

Seigneur, enseigne-moi toute la grandeur de ta divinité; enseigne-moi qu'un cœur pur est le don le plus précieux, le repentir la meilleure offrande de réconciliation et l'amour de mes frères le présent le plus magnifique que je puisse t'offrir.
Je viens donc à toi, Être infiniment bon et je t'apporte l'offrande de mon cœur ; et cette offrande est amour et réconciliation.
Je fais ici le vœu, Seigneur, de ne jamais chercher à nuire à celui qui a cherché à me nuire, et de ne jamais maudire celui qui m'a maudit. Je traiterai avec bonté celui qui me hait ; et, plein d'amour, je tendrai mes bras à celui qui m'a repoussé avec haine. Que mon ennemi m'accable d'injures, je le bénirai et ma vengeance sera un nouvel amour.
Dans les jours de l'infortune, j'ouvrirai mon sein à celui qui m'a rejeté du sien, et je sécherai les larmes de celui qui n'aura point voulu voir les miennes.
Je dirai du bien de celui qui me calomniera et j'étendrai un voile sur les fautes de celui qui aura, sans charité, relevé les miennes. Seigneur, c'est là l'offrande d'amour que je t'apporte; reçois-la avec bonté, et envoie, du haut des cieux, bonheur et bénédiction à celui qui me persécute.
Éclaire son cœur et rends son âme encore susceptible d'amour ; alors nous irons, les bras entrelacés, porter nos cœurs sur l'autel de l'amour, en offrande de réconciliation et nous nous écrierons vers toi, Seigneur : « Pardonne-nous nos offenses, comme nous les pardonnons à ceux qui nous ont offensés »
Auteur : Karl Von Eckhartshausen.

jeudi 7 juin 2012

Les Pressentiments chez les animaux
Sans avoir la patience observatrice d’un Fabre ou d’un Michelet, il est élémentaire de constater chez ceux qu’à bon droit nous nommons nos Frères inférieurs, la présence de la divine étincelle que l’homme, dans son orgueil, a jusqu’à présent cru posséder seul.
 Pour qui n’a fait qu’effleurer le domaine de la psychologie animale, la question de l’intelligence chez les bêtes ne se pose pas. Reste la question de développement.
 Il est certain que l’homme tient dans la série des êtres terrestres le plus haut degré de l’échelle intelligente, mais il est facile de voir que parmi les races humaines, parmi les individus d’une même nation, cette intelligence varie et surtout, disons le mot, s’adapte aux nécessités de l’existence.
Le pêcheur Lapon, dans ses solitudes polaires, n’aura pas la même compréhension, ni la même tournure de pensée, que le lazzarone napolitain, ou le coolie chinois. Par analogie on peut penser qu’il en est de même chez l’animal.
 Doué d’un cerveau moins développé que l’homme, c’est-à dire d’un instrument moins parfait, son champ d’action, et par conséquent de pensée, se trouve plus restreint.
 La nourriture, la reproduction, la bataille pour la vie, absorbent presque entièrement les fonctions cérébrales des animaux, mais donnent à leurs sens une acuité singulièrement plus puissante qu’aux nôtres, émoussés par la quiète certitude du pain quotidien et la protection de la propriété par une police organisée.
 L’animal nidificateur, fouisseur, en remontrerait souvent à nos architectes et l’oiseau migrateur sut retrouver son nid estival bien avant que nos pasteurs eussent observé l’étoile polaire.
 Ces observations purement déductives, nous entraîneraient trop loin de la portée de cet article où je ne veux que démontrer, non par des théories, mais par des faits, que les animaux sont capables autant que l’homme, sinon plus que l’homme, de percevoir ces vibrations psychiques de tout ordre que Maeterlinck a matérialisées sous le nom de l’Hôte Inconnu.
 Tous nous avons entendu parler des animaux avertisseurs, tels que : la chouette, le hibou, le chien, qui semblent prévoir l’arrivée de la mort près de nos habitations. Il est évident, que dans beaucoup de cas, la superstition joue un grand rôle, mais souvent aussi, des faits sont venus confirmer ces croyances populaires.
 Je ne puis mieux faire que de citer quelques exemples :
 Une de mes amies habitait Neuilly-sur-Seine, où elle mourut. Son agonie fut troublée par les sinistres hurlements d’un chien du voisinage. Les parents de la malade, désespérés de ne pouvoir faire taire cet animal, calme d’ordinaire, donnèrent l’ordre de lui porter un gigot que l’on venait de préparer. Peine inutile, le chien dédaignant le succulent morceau, continua de hurler à la mort.

Voici une histoire plus extraordinaire dont le héros fut un chat, animal ordinairement moins domestiqué que le chien.
 Une amie avait un couple de chats qu’elle chérissait. Un jour, au cours d’une querelle, le mâle tua la femelle. Mon amie eut dès lors l’horreur du meurtrier de sa préférée.
 Elle le maintint devant le corps de sa victime et lui dit :
 - Ce que tu as fait est si mal que je ne veux plus de toi. Tu vas t’en aller et tu ne reviendras plus jamais ici.
 Elle porta l’animal chez des voisins qu’un mur seul séparait de son habitation.
 - Votre chat sera toujours chez vous, dirent-ils. Pensez qu’il n’existe pas de séparation...
 Mon amie, déjà disposée au pardon, sourit à cette idée. Mais à sa grande surprise et à celle de ses voisins, jamais le chat n’essaya de retourner chez son ancienne maîtresse. Deux ans passèrent ; le mari de Mme X... mourut.
 Le soir, la veuve était au rez-de-chaussée, en compagnie de quelques parents, lorsqu’elle entendit à la porte les miaulements d’un chat.
 Elle ouvrit, et quelle ne fut pas sa stupéfaction en reconnaissant Minet.
 Il entra, flaira les personnes présentes et disparut dans l’escalier. Sa maîtresse l’y suivit ; elle le vit s’arrêter devant la porte de la pièce où reposait le mort. Par respect, elle ne lui ouvrit pas.
 Le chat demeura dans la maison tant que le corps y resta. Puis, après l’enterrement, il retourna chez ses maîtres et jamais ne revint.
 Monsieur M. M. possédait un chien doué de la faculté de pressentir la mort des personnes de la famille. Avant même que la maladie ne vint donner des inquiétudes à l’entourage, la bête se mettait à hurler de façon étrange, si bien qu’on avait fini par remarquer cette prévision et par s’en effrayer.
 M. M. est mort subitement d’une embolie. Or le jour précédent, alors que rien ne faisait prévoir pour l’artiste une fin si proche, le chien se mit à hurler de façon significative.
- Que veut dire cette vilaine bête, se demandèrent M. et Mme M. ? Le lendemain, le peintre était mort...
Effrayée, et injuste aussi, il faut l’avouer, Mme M. fit abattre le chien fatal.
 « Mme C. voyante de Nancy, me conta qu’elle avait possédé une petite chienne.
 Le mari de Mme C. était malade depuis longtemps ; mais alors que son état ne présentait aucun symptôme d’aggravation, la petite bête se blottit soudain sous le fauteuil où il se reposait et se mit à hurler lamentablement.
 - Qu’a donc cette bête, dit le malade, on dirait qu’elle annonce ma mort...
 On le rassura et l’on éloigna l’animal ; mais le lendemain, le mari de Mme C. mourut.

Voici un autre cas :
 L’instituteur B... des Grisons raconte ce qui suit :
 Son frère faisait hiverner un troupeau dans une étable, près d’un précipice où il menait journellement boire ses vaches, et où souvent roulaient des avalanches. Un matin, les vaches refusèrent énergiquement de descendre au ravin. Malgré toute la violence employée, il fallut les ramener à l’étable.
 Lorsque leur conducteur eût attaché ses bêtes, une avalanche croula avec un bruit de tonnerre sur les flancs du précipice, entraînant dans sa chute l’abreuvoir.
 Entre le début de la résistance des animaux, jusqu’au moment où ils se trouvèrent attachés, il s’était passé dix minutes environ. Or, une avalanche, une fois en mouvement, accomplit son trajet en moins d’une minute. Quelle a pu être la cause de la résistance des animaux ?
 L’affolement des bestiaux à Saint-Pierre de la Martinique, avant l’éruption de la montagne Pelée, l’abandon des vaisseaux par les rats avant le naufrage, sont des exemples analogues.
 Le charmant conteur danois, Andersen, avait un ami, un professeur, nommé Lunden, qui souffrait d’une maladie pulmonaire.
 L’administration lui accorda des subsides pour voyager en Italie. Lun­den possédait un chien nommé Amour, un caniche blanc qu’il aimait beaucoup et qu’il confia à Andersen pour la durée de son absence... Andersen accepta cette charge et assura la subsistance du chien sans autrement s’occuper de lui.
 Il rit de sa femme de chambre, lorsqu’un jour, celle-ci lui dit :
 - Amour pressent ce qui arrive à son maître. Il est gai ou triste selon qu’il va bien ou mal.
 - Comment cela, demanda Andersen ?
 - Eh mais, cela se voit bien à sa manière d’être. Pourquoi refuse-t-il parfois la nourriture sans être malade ?
 Pourquoi laisse-t-il pendre la tête tristement quelques jours avant que vous ne receviez de mauvaises nouvelles de M. Lunden ? Le chien sait exactement ce que fait son maître en Italie, et il le voit, car ses yeux ont quelquefois une bien singulière expression...
 A partir de ce moment, Andersen, malgré son scepticisme, observa l’animal. Une nuit, il sentit un contact froid sur sa main. Ouvrant les yeux, il vit le chien devant son lit, lui léchant la main.
 Avec un frisson, il le caressa pour le tranquilliser, mais alors, Amour poussa un hurlement plaintif et se jeta à terre, les quatre pattes étendues,
- A ce moment, raconta par la suite l’auteur, je sus exactement que mon ami était mort. J’en fus si certain, que le lendemain, je remplaçai mon vêtement brun par un costume noir.
 Dans la matinée, je rencontrai une personne amie qui me demanda la cause de ma tristesse ; je lui répondis :
 - Cette nuit, à onze heures vingt-sept, Olaf Lunden est mort... Comme je l’appris plus tard, c’était bien l’instant de la mort de mon ami.
 Je ne discuterai pas la cause, ni le processus de ces facultés si semblables à celles de nos médiums voyants. La science actuelle ne se paie pas d’aphorismes et de dit-on ; elle veut des faits. En voici quelques-uns que je laisse à méditer à nos lecteurs, certaine que nombre d’entre eux pourront m’en citer de nouveaux et d’aussi typiques.

Source : Le Mouvement Spirite Francophone
DEVOIRS DU SPIRITE
Le spiritisme est une science essentiellement morale, dès lors, ceux qui
se disent ses adeptes ne peuvent, sans commettre une inconséquence grave, se soustraire aux obligations qu’il impose.
Ces obligations sont de deux sortes : la première concerne l’individu qui, aidé des clartés intellectuelles que répand la doctrine, peut mieux comprendre la valeur de chacun de ses actes, mieux sonder tous les replis de sa conscience, mieux apprécier L’INFINIE BONTÉ DE DIEU QUI NE VEUT PAS LA MORT DU PÉCHEUR, MAIS QU’IL SE CONVERTISSE ET QU’IL VIVE et, pour lui laisser la possibilité de se relever de ses chutes, LUI A DONNÉ LA LONGUE SUITE DES EXISTENCES SUCCESSIVES.
A chacune d’elles, en portant la peine de ses fautes passées, il peut acquérir de nouvelles connaissances et de nouvelles forces, lui faisant éviter le mal et pratiquer ce qui est CONFORME À LA JUSTICE, À LA CHARITÉ. Que dire de celui qui, ainsi éclairé de ses devoirs envers Dieu, envers ses frères, reste orgueilleux, cupide, égoïste ?
 Ne semble-t-il pas que la lumière l’ait aveuglé parce qu’il n’était pas préparé à la recevoir ? Dès lors, il marche dans les ténèbres, bien qu’étant au  milieu de la lumière, IL N’EST SPIRITE QUE DE NOM.
La charité fraternelle de ceux qui voient véritablement doit s’efforcer de le guérir de cette cécité intellectuelle.
 Dans une nouvelle incarnation, ils comprendront que les planètes inférieures comme la terre, ne sont qu’une sorte d’école mutuelle OÙ L’ÂME COMMENCE À DÉVELOPPER ses facultés, ses aptitudes, POUR LES APPLIQUER ENSUITE à l’étude de grands principes d’ordre, de justice, d’amour et d’harmonie qui règlent les rapports des âmes entre elles et les fonctions qu’elles remplissent dans la direction de l’univers ; ils sentiront qu’appelée à une si haute dignité que celle DE DEVENIR MESSAGÈREDU TRÈS-HAUT, l’âme humaine ne doit pas s’avilir, et se dégrader au contact des immondes jouissances de la volupté, des ignobles convoitises de l’avarice, etc…
Ils comprendront qu’ils ne sont pas seulement obligés à s’améliorer eux-mêmes
MAIS QUE LE SECOND ORDRE D’OBLIGATION DU SPIRITE, découlant nécessairement du premier et le complétant, EST CELUI DE L’EXEMPLE  QUI EST LE MEILLEUR DES MOYENS DE PROPAGATION.
En effet, celui qui est convaincu de l’excellence des principes qui lui sont enseignés et doivent, s’ils y conforment sa conduite, lui procurer un bonheur durable, ne peut, s’il est vraiment animé de cette charité fraternelle QUI EST DANS L’ESSENCE MÊME DU SPIRITISME, que désirer qu’ils soient compris par tous les hommes.
 De là, L’OBLIGATION MORALE de conformer sa conduite à sa croyance et, D’ÊTRE UN EXEMPLE VIVANT, UN MODÈLE COMME CHRIST LE FUT POUR L’HUMANITÉ.
 Il faut faire aimer la vertu en l’entourant du charme de cette bienveillance constante qui attire, captive et montre enfin que LA PRATIQUE DU BIEN EST CHOSE FACILE, qu’elle fait le bonheur intime de la conscience qui s’est rangée sous sa loi, car elle est l’accomplissement de la volonté divine qui nous fait dire PAR SON CHRIST :
« SOYEZ PARFAIT PARCE QUE VOTRE PÈRE CÉLESTE EST PARFAIT ».
Or, le spiritisme n’est pas autre chose que l’application vraie DES PRINCIPES DE LA MORALE ENSEIGNÉE PAR JÉSUS, car ce n’est que dans le but de le faire comprendre à tous, afin que, par elle, tout progresse plus rapidement, QUE DIEU PERMET CETTE UNIVERSELLE MANIFESTATION DE L’ESPRIT venant vous expliquer ce qui vous paraissait obscur et vous enseigner toute vérité : aucune émanation fluidique, BONNE OU MAUVAISE, ne s’échappe du cœur ou du cerveau de l’homme SANS LAISSER QUELQUE PART UNE EMPREINTE.
 Le monde invisible qui nous environne est pour nous ce Livre de Vie où tout s’inscrit avec une incroyable fidélité et LA BALANCE DE LA JUSTICE DIVINE n’est autre qu’une figure exprimant que chacun de nos des actes, chacun de nos sentiments est, en quelque sorte, le poids qui charge notre âme et l’empêche de s’élever ou celui qui amène l’équilibre entre le bien et le mal.
SI NOTRE VIE EST UN BON MODÈLE, NOUS AURONS COMPRIS CE À QUOI LE SPIRITISME OBLIGE.
BUQUOIT Albert

lundi 21 mai 2012

Vivez dans l'intégrité


1.Les anges m’ont dit, « Passez votre temps à faire des activités qui nourrissent vos intentions les plus élevées. Laissez aller les choses que votre intuition vous dit d’abandonner.
 Ces choses-là pourraient être transformées afin que éprouviez de la joie, ou sinon l'énergie va retomber facilement ».
Les anges m’ont poussé à faire confiance à mon cœur. Ils m’ont assuré que je serais en sécurité en diminuant le travail qui n’allait pas avec mes véritables centres d’intérêt. Je me suis rendu rapidement compte que les anges avaient raison !
2. Il n’y a que le présent
« Vous êtes complet et entier maintenant. Ne portez pas votre attention sur ce que demain pourrait vous amener, ceci implique que vous êtes imparfait ou en manque maintenant, et que vous serez entier avec quelque chose d’extérieur qui vient dans votre vie dans le futur ».
Lorsque les anges m’ont dit ceci, j’ai réalisé que j’avais vécu en fonction du futur. Ma focalisation était centrée sur ce que demain pourrait m’apporter, plutôt que sur mes bénédictions présentes. Maintenant je fais une « liste de gratitude » mentale chaque nuit.
3. Tout conflit se trouve dans votre mental
« Tout conflit que vous voyez ou expérimentez dans le monde extérieur est une projection de votre ego. En effet, le monde est pleinement en paix et vous projetez votre peur de paix dans le monde. Vous ne voulez pas résoudre votre conflit intérieur, mais vous voulez qu’il s’en aille en dehors de vous. Ainsi, vous projetez celui-ci sur les autres et pensez « qu’ils » sont ceux qui causent les problèmes. Les autres gens sont neutres, sans teinte et vous les colorez avec vos propres étiquettes et définitions. Ensuite, vous réagissez à celles-ci comme si les colorations ou définitions étaient réelles. Les autres, à leur tour, vous traitent de la façon à laquelle vous vous attendez en une prophétie qui s’auto-réalise.
Alors que les anges m’ont expliqué ceci, j’ai réalisé combien souvent j’ai permis à la peur de créer des moments terribles pour moi. Mais j’ai toujours eu le pouvoir de choisir les pensées et les sentiments que j’ai attribués à toutes les situations.
4. Ne jugez pas
« Vous jugez les autres pour vous protéger vous-même, pour les mettre à l’extérieur de vous afin que vous ne vous approchiez pas d’eux et soyez blessé. Mais nous vous avons dit que vous n’avez pas besoin de penser à votre sécurité. Vous êtes en sécurité, et un schéma bouleversant de pensée concernant votre sécurité peut créer cette même chose que vous craignez dans votre vie ».
Les anges m’ont expliqué que nous amenons vers nous ce à quoi nous pensons. Si d’une manière obsédante nous pensons à un danger physique ou émotionnel, nous créons le climat par lequel les pires peurs se manifestent. Avec la pratique, j’ai commencé à connaître le moment où j’allais juger les autres. J’ai commencé à abandonner mes peurs à mes anges, et j’ai senti que mes habitudes de jugement disparaissaient peu à peu.
Traduction Renée Royer-Salles
Transmis par Angels And Us

mardi 27 mars 2012

Préparer votre futur en cultivant une pensée objective

Le plus grand mécanisme de l’être humain est son mécanisme de pensée. Ainsi apprenons-nous au fil des années à marcher, puis à parler, mais jamais nous n’apprenons à penser. La pensée vient d’elle-même, sans apprentissage préalable. Nous négligeons trop les pouvoirs de la pensée. Elle peut influer sur notre vie quotidienne et en améliorer la qualité. Supposons qu’un malade se morfonde dans son lit et pleurant sur son sort. Il y a fort à parier que son mal mettra plus de temps à passer que s’il se disait : " la maladie va disparaître très vite, de jour en jour je me sens mieux. ". Vous connaissez toutes la méthode Coué, créée par le docteur du même nom. Emile Coué était psychothérapeute et inventa une méthode d’autosuggestion, très simple. Il suffisait de se répéter durant la journée : "  je vais de mieux en mieux, de jour en jour ". Et les guérisons n’étaient pas rares. Souvent un mal apparaît suite à un stress. Les tissus ne sont donc nullement affectés et c’est le psychisme qui est en cause. La méthode positive peut, en ce cas, faire merveille. Par exemple, ne dites plus "je vais bien " à qui prend de vos nouvelles, mais dites "je vais merveilleusement bien ". Le subconscient enregistre le mot merveilleusement et traite les données en fonction de ce mot clé.

La pensée est une énergie. Elle ne pense pas, ne réfléchit pas et n’analyse pas. Ainsi, à chaque pensée émise, vous émettez un contrôle énergétique.

On dit qu’une pensée met 1 seconde à faire le tour de la terre pour nous revenir, amplifiée par trois. En émettant une pensée positive, style "je suis bien ", vous sentirez effectivement un état de bien-être, dans la seconde qui suit.

Ne voyez aucun allusion religieuse dans les lignes qui suivent, il s’agit tout simplement d’une méthode axée sur la spiritualité.

Nommons cette énergie Univers Infini. Lorsque vous avez un souhait, un vœu à formuler, demandez à cet Univers Infini de vous venir en aide. Mais attention : il y a quelques règle à respecter. La forme-pensée est toujours régie par l’intention du cœur. En émettant des intentions pures, ce sont des intentions pures qui vous viendront en retour. C'est la loi du boomerang qui est en vigueur ici !

Pour commencer, il faut y mettre de la douceur. Un souhait formulé dans un état de haine ou d’esprit de vengeance créera la confusion et votre esprit sera perturbé. Donc DOUCEUR. La pensée que vous véhiculez doit donc être chargée d’une énergie positive.

La pensée doit être émise au présent. " Je serai en pleine forme " ne constitue pas une bonne formule. La bonne façon de le dire est "je suis en pleine forme. " Et en ajoutant "immédiatement " ou "tout de suite ", vous vous assurez un tonus pour l’instant présent… et pas pour Noël prochain !

Ensuite, il faut bannir de vos demandes la forme négative. L’énergie-pensée, nous l’avons vu, ne pense pas, ne réfléchit pas et n’analyse pas. Elle n’enregistrera donc pas la forme négative. Si vous vous dites "je ne suis pas timide ", la pensée exclura "ne… pas " et imprimera "je suis timide ". Donc, un coup dans l’eau ! Oubliez, dans vos formules, les mots ne pas, n’, aucun, sans, moins, jamais. Lorsque vous dites de façon anodine "il n’y a pas de problème ", le subconscient omet " n’ … pas " et enregistre "il y a problème ". Mais si vous dites "je n’ai pas confiance en moi ", le subconscient omet également les mots " n’…pas ", mais vous avez insufflé une influence négative à votre pensée, d’où échec.

De la douceur – Conjuguer au présent – Bannir la négation

Voici comment formuler vos demandes:

• Univers infini, je me sens calme et détendue, tout de suite.
• Univers infini, je suis attentive à la leçon et je comprends l’arithmétique
• Univers infini, je reçois une surprise très agréable. (Insistez sur les qualificatifs)
• Univers infini, je suis en bonne santé, maintenant
• Univers infini, je me mets au dessin dans le plus bref délai possible
Voici un petit aperçu des demandes que vous allez formuler. Des milliers d’autres peuvent être ajoutées à cette liste, selon vos besoins ou vos envies. Lorsqu’on demande de l’aide à une énergie, il faut dire "immédiatement " ou "tout de suite ", car la pensée ne calcule pas le temps. Elle réagit comme un ordinateur. Il faut lui donner toutes les conditions pour que le programme fonctionne. En omettant de donner un laps de temps, le résultat parviendra à son terme dans 10 jours, un mois ou 16 ans, puisque aucune donnée de temps ne lui a été indiquée ! Si vous deviez différer quelque peu votre visée, dites "dans le plus bref délai ".

Prenez dès aujourd’hui l’habitude de formuler une dizaine de vœux chaque jour. Il n’y a aucune contre-indication, aucune rupture de stock ! Et apprenez à gérer ce nouveau "patrimoine" : Supposons que votre enfant est médiocre en algèbre. Sa mémoire n’enregistre pas la matière car son subconscient lui renvoie une pensée négative. Il a dû certainement se dire "je suis nul en algèbre " et la pensée a suivi son chemin. Apprenez-lui à dire, en entrant en classe "univers infini, je suis attentif à la leçon et je comprends l’algèbre. " Ensuite, il est impératif qu’il lise 3 fois consécutive le contenu de la leçon. Le jour de l’interrogation ou de l’examen, il formulera sa demande ainsi : " Univers infini, retourne dans ma mémoire pour y chercher les réponses ". Les pouvoirs du subconscient sont méconnus… et incroyables. Pas de mémoire, vous ? Moi je dirai plutôt que vous avez un subconscient fainéant, qui ne demande qu’à être secoué un peu.

Une dernière chose : le doute, qui fait partie intégrante de tout adulte qui se respecte est un élément dévastateur pour l’action de la pensée positive. Vous direz que vous espérez que ça va marcher inclus déjà un doute et annihile les effets de la pensée. Les jeunes enfants, dépourvus de doute, ressentent bien plus rapidement les effets de la pensée positive !
Utilisez aussi cette pensée positive pour gérer les tracas de la vie. Si vous êtes en conflit avec votre amie, envoyez-lui une gerbe de roses rouge (amour) en pensée. " Univers infini, envoie un immense bouquet de rose rouge à Béatrice, immédiatement". Les ondes bénéfiques que vous aurez envoyées à votre amie vous reviendront sous forme d’un pardon ou d’excuses, ou mieux : Une visite de votre amie. Et là, rien ne vous empêche de lui offrir les roses. Des vraies, cette fois-ci !

Les guides
Nous sommes entourés d’entités que nous nommerons nos guides. Ils sont là par centaines, pour nous venir en aide lorsque nous en avons besoin. Rien à voir avec les anges, qui ont été créés pour chanter les louanges célestes (on n'a jamais vu d’ange représenté avec une scie égoïne ou un Macintosh !). Les guides, eux, sont précisément là pour nous aider dans les tâches quotidiennes. Supposons que vous deviez préparer un repas gastronomique. Bien sûr, vous aurez besoin de livres de cuisine, d’ustensiles, de casseroles et d’huile de coude, mais si vous demandez l’aide du meilleur guide cuisinier, votre tâche s’en trouvera facilitée. (Je vous vois sourire, mais souvenez-vous : pas de doute dans vos formules !!!).

Si vous vous apprêtez à peindre un tableau, demandez le meilleur guide peintre. Pour une soirée, la meilleure guide esthéticienne, etc… Demandez tous les guides dont vous avez besoin : ils ne demandent qu’à travailler ! Dans une journée bien remplie, vous aurez certainement besoin de 20, 30 ou même 40 guides différents. Aucune importance, rappelez-vous simplement qu’il faut demander le meilleur guide. (Tant qu’à faire, si on peut avoir Christian Dior, on ne va pas se contenter du pommeau de service, non mais ! ! !). On parle à ses guides comme on parle à un ami (ce qu’il est, d’ailleurs) Pas de fioritures, de tralalas et de rituel cabalistique. Juste du fond du cœur, avec sympathie. Et demandez le guide spécialisé ! Si vous devez affronter un devoir d’allemand, demandez le meilleur guide professeur d’allemand. En demandant juste le meilleur guide professeur, vous n’auriez qu’un généraliste et pas le top niveau ! Pour votre demande, formulez la phrase ainsi : " Univers infini, envoie-moi maintenant le meilleur guide professeur de karaté ". Et Bruce Lee aura l’air d’un petit rat de l’opéra !

Condensé du cours de Monsieur Daniel Sévigny  "Ma première leçon de vie".

dimanche 18 mars 2012

Demander pardon

Demander pardon
par C.G., conseillère conjugale



Demander pardon : pourquoi est-ce difficile ?

J'ai offensé une personne; j'aurais envie de fuir, ou alors de faire comme si de rien n'était. Réaliser que j'ai fait une faute m'est difficile. L'admettre à l'offensé en lui demandant pardon l'est encore plus. Pourquoi ? D'abord, reconnaître que j'ai eu tort me met face à mon imperfection, ma finitude, ma faiblesse face à la tentation du mal. Fini pour moi les rêves de toute-puissance et de parcours sans faute. Me voilà ramenée à ma condition d'être humain, avec ses bons mais aussi ses mauvais côtés. Mon image de moi se trouve entachée par la réalisation de ma faute. Peut-être suis-je moins géniale que ce que je le souhaitais ?!


Si je demande pardon, si j'admets ma faute, l'autre ne va-t-il pas me déconsidérer, me rejeter même ? L'autre ne va-t-il pas profiter de cet aveu de faiblesse pour utiliser la situation et m'abaisser davantage ?



Pourquoi demander pardon ?

Une première raison, c'est de le faire par respect de moi-même. Je veux agir d'une manière responsable et constructive. Mes actes m'appartiennent et je veux les assumer. C'est ainsi que je serai pleinement "installée" en moi-même.

Une deuxième raison est le respect de l'autre. Je lui ai fait du tort; il a droit au respect et cela implique que je lui fasse justice en admettant que j'ai fauté contre lui (ce que la Bible appelle “péché”). Cet aveu sera peut-être source de guérison pour lui.

Une troisième raison pour demander pardon, c'est d'ouvrir une voie à la réconciliation. Jésus a dit : "
Si au moment de présenter ton offrande devant l'autel, tu te souviens que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton offrande devant l'autel et va d'abord te réconcilier avec ton frère; puis tu reviendras présenter ton offrande."(Evangile de Matthieu, ch5, v23-24). Dans l'optique de Dieu, que j'aille me réconcilier avec celui que j'ai offensé est plus important que tout, même que ma pratique religieuse (si je suis croyant). C'est, en fait, une mise en pratique de ma foi dans le contexte relationnel... et cela passe avant même la prière !

Qu'est-ce qui peut m'aider à aller vers l'autre ?

Je crains qu'il ne me juge mal, alors qu'en fait, avoir l'humilité de demander pardon attire le respect. Et si déjà, je m'accordais à moi-même le droit d'être humaine ? Accepter mon humanité, c'est accepter que je puisse faire des erreurs sans être pour autant "bonne à jeter". Si je m'accorde cela, l'autre me l'accordera peut-être aussi. Et avoir cette attitude intérieure vis-à-vis de moi-même évitera que je me justifie à tout prix. Oui, dans cette situation précise, j'ai eu tort. Je n'ai pas d'excuse. Même si certaines choses peuvent expliquer que... je prends l'entière responsabilité de mes actes.

De ce fait, je suis rendue capable d'entendre la plainte de l'autre, d'entendre sa souffrance s'il souhaite me l'exprimer. Je peux entendre sa blessure sans chercher à atténuer la portée de mes actes, et je peux même éprouver de l'empathie pour celui que j'ai offensé. Bien évidemment, cette attitude favorise l'ouverture du coeur de l'autre pour qu'il m'accorde son pardon. Mais ça, c'est sa décision, sa responsabilité; cela ne m'appartient pas. S'il me l'accorde et si la relation peut être restaurée, c'est un cadeau qu'il me fait, non un dû.

Comment demander pardon ?


Pour que ma demande de pardon soit sincère, elle doit être précise et basée sur des faits pour lesquels je vois mes torts. Je ne vais pas dire : "Je te demande pardon si je t'ai blessé". Non. Quand je dis cela, je n'admets aucune faute et je ne rétablis en rien une quelconque justice. Je dois être précis(e), avoir réalisé ma faute et l'énoncer clairement : "A telle occasion, j'ai fait telle chose. C'était méchant et injuste de ma part. Je t'en demande pardon".

Parfois, il pourra arriver que je blesse ou contrarie quelqu'un, simplement parce qu'on a des goûts, des avis, des besoins différents, et que ma façon d'être a pu le heurter. Dans cette situation, je vérifierai si j'ai ou non commis une faute. Pour avoir un repère, je me référerai aux dix commandements. Si je n'en ai transgressé aucun, j'irai vers l'autre et je lui dirai : "Je suis désolée, je n'avais pas l'intention de te blesser. On a simplement des points de vue différents." mais je ne lui demanderai pas pardon car il n'y a pas faute.

Demander pardon règle-t-il tout ?

Non. En fait, il reste la question de la justice. Toute faute mérite sanction. Je le sais bien lorsque quelqu'un me fait du tort et que tout en moi crie : "Ce n'est pas juste ! Ca mérite réparation !". Mais comment réparer lorsque c'est moi l'offenseur ? Il y a certains actes possibles - rendre ce que j'ai volé par exemple. Mais comment vais-je réparer l'impact d'une parole envoyée comme un poignard, sur un coup de colère ?

Le péché (faire le mal), c'est grave ! "
Le salaire du péché, c'est la mort" nous dit l'apôtre Paul. Heureusement, il continue sa phrase "mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en union avec Jésus-Christ notre Seigneur"(1). La dette que nous devions à la justice - la mort - Jésus l'a payée à notre place. "Le Christ lui-même a souffert la mort pour les péchés une fois pour toutes. Lui, l'innocent, il est mort pour des coupables, afin de vous conduire à Dieu." (2)

La demande de pardon nous conduit donc jusqu'à Dieu. Il est le seul qui puisse m’enlever ma culpabilité .
Avec lui aussi, la relation peut être restaurée !
1) épître aux Romains ch6 v23
2) 1ère épître de Pierre ch 3 v18




Ce que le Pardon n'est pas

par T.G., aumônier



* Le pardon n'est pas l'oubli.

Souvent les gens disent : "Allez, trace un trait, tourne la page, dans peu de temps tu ne t'en souviendras plus.". Les professionnels de la psychothérapie savent combien on n'oublie jamais. Les blessures dites "oubliées" ont été enfouies dans l'inconscient et elles continuent de travailler les personnes (voir:
effets désastreux du non-pardon). On est obligé de les faire émerger à nouveau pour être capable de les traiter. Pardonner ne veut pas dire oublier, cela veut dire cicatriser. On pourra se souvenir de l'événement mais l'on n'aura plus de ressentiment intérieur. Une cicatrice ne fait plus mal. C'est ce qui arrive lorsqu'on pardonne : on ne souffre plus.

* Le pardon ne signifie pas excuser.


Excuser veut dire qu'on ne tient pas l'offenseur pour responsable de ses actes. On a tendance à lui trouver des circonstances atténuantes. On explique son geste ou ses paroles par la connaissance de sa vie. On minimise ses actes ou ses paroles. Bref, on le protège et on nie le mal qui nous a été fait. Mais une faute n'est pas excusable, quand bien même on peut l'expliquer. Une faute nécessite le pardon. Saviez-vous d’ailleurs que lorsque Dieu se présente à Moïse, il se présente comme Le miséricordieux, celui qui pardonne, mais qui ne tient pas le coupable pour innocent ?

* Le pardon n'est pas synonyme de réconciliation.

Encore une fausse idée ! Qu'est-ce qui établit et maintient une relation ? La confiance mutuelle. Si la confiance est trahie, elle ne peut revenir par simple décision de la volonté. La confiance se gagne, se mérite, se construit, en l'occurrence doit se reconstruire. Deux amis qui se blessent sévèrement ne peuvent pas décider que tout va continuer comme avant, d'un claquement de doigt. Réconciliation et pardon ne sont pas identiques. La réconciliation est une suite du pardon, à souhaiter, mais ce n'est pas systématique. À la suite d'une blessure, il faut décider : est-ce que je continue cette relation ? Est-ce que je peux l'approfondir ? Sinon, elle s'arrêtera, tout simplement, car elle a été rompue.

* Le pardon ne s'impose pas.

Le pardon est un acte d'amour : "par don". La personne qui pardonne doit demeurer libre de son choix. Obliger quelqu'un à nous pardonner, c'est lui dire : "je veux que tu m'aimes malgré les vacheries que je t'ai faites". On peut le souhaiter et le demander. On ne peut contraindre l'autre à le faire. Sinon ce n'est plus un pardon.

* Le pardon n'est pas une démission de ses droits.

Le pardon ne vient pas éliminer la justice. Un voleur pardonné n'est pas dispensé de rendre son bien à autrui. Le pardon n'enlève pas non plus les conséquences d'un acte ou d'une parole malheureuse. Pardonner un meurtrier ne ramène pas à la vie la victime. Le pardon n'est pas un acte de justice. C'est une démarche d'amour pour la réhabilitation de l'offenseur, de son être. C'est le dissocier du mal qui l'habite et qui l'a conduit à mal agir, et ne pas le condamner avec.

* Le pardon ne change pas l'autre.

Quand on pardonne, quelque chose d'extraordinaire se passe, qui nous guérit et nous libère. Mais il ne faut pas pardonner en pensant que c'est ce qui va faire changer l'autre. L'offenseur pourra prendre conscience de sa conduite et changer de comportement et d'attitude intérieure. Mais on n'a pas de pouvoir sur l'autre, qui reste libre et responsable de reconnaître ou non sa faute.


Pardonner en 5 étapes


par T.G., aumônier



Pardonner, c'est tenir une offense pour non avenue, renoncé à tirer vengeance. Voici 5 étapes claires qui décrivent la démarche à faire pour pardonner vraiment, lorsqu’on nous a fait du mal.
* 1ère étape : reconnaître qu'on a été blessé.             
Lorsqu'on souffre, on a parfois tendance à vouloir très vite oublier la souffrance en enfouissant la blessure. Pourtant, celle-ci sera comme un abcès non traité : elle continuera en réalité à nous faire mal de l’intérieur. Pour guérir, il faut, comme en chirurgie, entrer en contact avec sa blessure intérieure. Ce n'est pas facile. On a des mécanismes de défense qui nous empêchent de vouloir trop souffrir. On a peur aussi de rencontrer notre colère. On fait toutes sortes de manœuvres pour ne pas entrer en contact avec nos émotions.

Certains, voulant «bien faire», ont aussi tendance à vouloir pardonner à l’autre rapidement, beaucoup trop rapidement. Beaucoup de gens pardonnent intellectuellement trop vite, en trouvant des excuses à l’autre, sans respecter ce qui se passe à l'intérieur d'eux-mêmes au niveau émotionnel. Mais s'il n'y a pas une écoute et une reconnaissance des différentes émotions (douleur, tristesse, colère, frustration), on ne guérira pas. Pardonner demande du courage.
* 2ème étape : prendre la bonne décision.
Le pardon ne vient pas seul. Il faut décider de ne pas prendre le chemin de la violence ou du ressentiment (voir : les effets désastreux du non-pardon). C’est un chemin de mort : mort pour nous-mêmes, mort qui se propagera à nos relations. Il faut au contraire choisir le chemin de la vie : celui de s’engager sur la voie du pardon, même si c’est coûteux, même si ça fait mal, même si c’est long.

Il est aussi très important d'essayer de faire cesser l'offense. Le pardon est difficile et ne tient pas longtemps tant qu'une personne perpétue son offense sur nous. Il faut décider de demander à la personne de cesser de nous blesser. Cela demande du courage. Parfois, on cache notre manque de courage derrière la belle façade d'un pardon donné gratuitement. On étouffe en fait nos sentiments parce que ça nous est plus confortable. Mais la vérité est qu’on ne peut réellement pardonner dans les conditions d'une offense continuelle. Attention, faire savoir qu'on est blessé ne veut pas dire se mettre en colère contre l'autre.
* 3ème étape : dire sa souffrance.
Il faut extérioriser sa douleur pour pouvoir la gérer, la guérir. Attention, il ne s'agit pas de parler autour de soi pour dire du mal de l'autre, ou d’éclater à la figure de celui qui nous a fait mal. On a décidé de ne pas se venger. Deux voies s’offrent à nous : on peut écrire dans un cahier et/ou parler à quelqu'un de confiance. Ecrire permet de décharger sur le papier toute la violence qu’une blessure peut avoir causé en nous, sans que cette violence ait de conséquence néfaste. Seul le cahier saura ce qui est sorti de nous. Lorsqu’on se confie à quelqu’un, il s'agit de parler de notre souffrance et de décrire des faits, pas d'interpréter des intentions. Il faut aussi trouver une personne assez mûre pour écouter nos doléances sans que cette personne en vienne à mépriser celui qui nous a fait du mal ni qu'elle aille répandre partout la nouvelle.

Enfin, il faut se forcer à faire du sport, se défouler sainement pour évacuer le trop plein d’émotions.

* 4ème étape : recevoir la guérison.

Le pardon total n'est pas possible si notre être intérieur n'a pas été guéri. Ecrire ou parler à quelqu'un permet d'y voir clair en nous et d'identifier ce qui a été touché. Ce n'est pas jouer à la victime et se lamenter sur soi-même d'une façon générale. C'est important de savoir exactement ce qu'on a perdu, par rapport à nous et également par rapport à l'autre. Dans tout pardon, il y a un deuil à faire par rapport aux attentes que l'on avait vis-à-vis de quelqu'un, la confiance qu’on a perdue, l’amour qu’on n’a pas reçu. Ce ou ces deuils sont des lâcher-prise à faire.

Quand on peut ainsi repérer ce qui a été touché en nous, notre agressivité commence à fondre parce qu'on touche à la racine de la douleur pour la soigner. Les mots mis dessus ont un pouvoir thérapeutique car nous avons heureusement en nous une capacité intérieure réparatrice. C’est pourquoi les psychologues ou les psychiatres peuvent nous aider à ce niveau.

* 5ème étape : s'ouvrir au don du pardon.

Une fois la guérison enclenchée, on peut dire : "mon cœur est ouvert pour recevoir le don du pardon". En effet, on ne pardonne pas aux autres, on se laisse prendre par le pardon. Le pardon ne nous appartient pas. Le croire fait naître en nous un sentiment de supériorité. Le pardon n'est pas une vertu morale, il nous est donné. Mais on doit être disposé à le recevoir et à le pratiquer.

Pour le croyant, c'est là qu'intervient Dieu, car Dieu est la source du pardon, nous dit la Bible. C'est Dieu qui nous l'inspire, c'est lui qui nous en rend capable, même si on ne croit pas en Lui. Ce qui est important, c'est de savoir qu'on ne donne pas le pardon, mais qu'on le reçoit.

Lorsqu’on a une relation d’intimité avec Dieu, il n’y a pas de plus doux ami qui sache mieux écouter, recevoir notre douleur et nous en décharger. Aussi, quand la blessure est trop profonde ou très ancienne, quand notre moi intérieur n'a plus la force de réparer les dégâts, il y a besoin alors de l’intervention du Dieu d’amour, en Jésus : "
L'Esprit de l'Eternel est sur moi. Le Seigneur m'a envoyé pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux. Il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé..." ; "Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai le repos " (Evangiles de Luc ch.4 v. 16-21, et Matthieu ch.11 v.28).

Car le vrai moteur du pardon, c'est de se savoir aimé profondément, inconditionnellement. Si vous vous sentez aimé(e) profondément, vous allez être capable de guérir et de pardonner pleinement. Aviez-vous déjà pensé qu’en venant à Dieu, il pouvait vous conduire et vous aider à faire ce chemin de libération et de vie, qu’est le pardon ?

* Après le pardon : que faire de la relation avec l'offenseur ?

On a le choix. Est-ce qu’on se réconcilie avec la personne ou pas ? Cela n’est pas obligé (voir : ce que le pardon n’est pas). Si je me réconcilie avec la personne, la relation ne peut plus revenir comme avant. Lorsqu'il y a eu une blessure entre deux personnes, le seul chemin positif est l'approfondissement de l'amour entre ces deux personnes, décidé d'un commun accord. Quand on peut souffrir ensemble et accepter cette souffrance-là, il y a une sorte d'approfondissement. Un amour qui n'a pas souffert est un amour qui manque de profondeur. On le voit chez les couples. Mais un tel chemin commun d’amour n’est pas toujours possible. Dans certaines situations, il est même préférable qu'il n'y ait pas de réconciliation, si la personne n'a pas changé par exemple, si elle peut continuer à nous agresser, à nous faire du mal.


dimanche 26 février 2012

Le Bonheur

Beaucoup de gens recherchent le bonheur de diverses manières. Certains pensent que
le bonheur réside dans les biens matériels, d'autres pensent qu'il est le rassemblement d'un grand amour pour les autres pour résoudre un problème ...
Quoi qu'il en soit, tout le monde met son bonheur quelque part.
La chose étrange est que, souvent, ceux-ci rêves de bonheur se réalisent, mais après une période de ces personnes ne sont plus sentir si heureux et commencent à chercher de nouveau quelque chose qui donne un sens à leur vie, et la plupart ne cherchent pas.
Voici le vide, la douleur et la souffrance. Quelqu'un a dit:
"Le bonheur n'est pas de ce monde." En fait, le bonheur est la conquête intérieure, parce que contrairement à ce que beaucoup pensent, il n'est pas à l'extérieur, mais à l'intérieur de chacun de nous.
Alors laissez-nous regarder en nous et cherchons à nous connaître sans fierté, tout en reconnaissant ce que nous sommes et ce que nous pouvons de changer.
C'est de cette façon. Et n'oubliez pas: au sein de chacun de
nous est une semence de Dieu et il a une puissance infinie!

vendredi 24 février 2012

Demain, ce sera différent

Demain, ce sera différent si la paix et l'harmonie truie aujourd'hui
parmi les gens avec qui nous vivons;
Demain sera différent si aujourd'hui il y a de la complaisance dans nos vies;
Demain sera différent, si aujourd'hui nous faisons plus pour ceux qui
ont besoin de notre aide ;
Demain sera différent, si ce n'est pas aujourd'hui que nous gardons dans nos cœurs
les sentiments qui affligent nous corps et l'esprit;
Demain sera différent, si aujourd'hui nous faisons notre part
dans nos engagements;
Demain sera différent, si ce n'est pas le prendre l'autre jour
ce que nous devrions faire;
Demain sera différent, aujourd'hui, nous laisser en dehors de notre
promenade nous recevons toutes nos offenses;
Demain sera différent, est maintenant hardiment face à
tous les obstacles et les tempêtes de la manière dont,
demain sera différent, si aujourd'hui nous faisons la nos vies
vraiment une vie de lutte et de changements en nous.

Le Procès


Posté le mardi 21 Février 2012.

Nous sommes encore des créatures faillibles aux yeux de Dieu parce que nous savons peu de choses de la grandeur de la sagesse divine.

Souvent, nous nous sommes mis à l'arrêt des actions de nos frères, mais nous oublions que nous puissions plus tard être jugés.


Quand on pense nous devons nous référer à nos propres erreurs, de nos défauts les plus intimes et pourtant, nous pensons que nous sommes capables d'un tel acte, nous devons être conscients que nous allons être facturé pour ce dernier.


Les jugements que nous portons sont certainement nos propres défauts, mais pour nous il est plus commode de regarder l'autre comme tort, parce que nous reconnaissons en nous nos fautes.
Nous devons être très prudents dans la fabrication de tout jugement, si petite qu'elle est, la


Providence divine nous facturer une attitude à la présente décision.
N'oublions pas que les essais peuvent promouvoir de nombreux maux en nous
car ils favorisent beaucoup d'inconfort dans notre vibration du corps spirituel,
ce qui nous rend la vue des créatures de Dieu malades et ont besoin de traitement.
Ne pas porter des jugements que nous pourrions regretter plus tard.
Faisons le choix dans nos vies par la compréhension et le pardon, car alors
nous pouvons évoluer dans les yeux de Dieu et les seuls bénéficiaires seront nous-mêmes.

jeudi 16 février 2012

Pardonner pour que Dieu vous pardonne


La miséricorde est le complément de la douceur ; car celui qui n'est pas miséricordieux ne saurait être doux et pacifique ; elle consiste dans l'oubli et le pardon des offenses. La haine et la rancune dénotent une âme sans élévation ni grandeur ; l'oubli des offenses est le propre de l'âme élevée qui est au-dessus des atteintes qu'on peut lui porter ; l'une est toujours anxieuse, d'une susceptibilité ombrageuse et pleine de fiel ; l'autre est calme, pleine de mansuétude et de charité.

Malheur à celui qui dit : Je ne pardonnerai jamais, car s'il n'est pas condamné par les hommes, il le sera certainement par Dieu ; de quel droit réclamerait-il le pardon de ses propres fautes si lui-même ne pardonne pas celles des autres ? Jésus nous enseigne que la miséricorde ne doit pas avoir de limites, quand il dit de pardonner à son frère, non pas sept fois, mais septante fois sept fois.

Mais il y a deux manières bien différentes de pardonner : l'une grande, noble, vraiment généreuse, sans arrière-pensée, qui ménage avec délicatesse l'amour-propre et la susceptibilité de l'adversaire, ce dernier eût-il même tous les torts ; la seconde par laquelle l'offensé, ou celui qui croit l'être, impose à l'autre des conditions humiliantes, et fait sentir le poids d'un pardon qui irrite au lieu de calmer ; s'il tend la main, ce n'est pas avec bienveillance, mais avec ostentation afin de pouvoir dire à tout le monde : Voyez combien je suis généreux ! Dans de telles circonstances, il est impossible que la réconciliation soit sincère de part et d'autre. Non, ce n'est pas là de la générosité, c'est une manière de satisfaire l'orgueil. Dans toute contestation, celui qui se montre le plus conciliant, qui prouve le plus de désintéressement, de charité et de véritable grandeur d'âme se conciliera toujours la sympathie des gens impartiaux.

Allan Kardec : l'Evangile selon le Spiritisme.

Avant de Pardonner, d'oublier

Posté le lundi, Février 6, 2012.

Nous sommes les créatures de développement, incarnés sur la planète Terre qui
donne la possibilité pour nos essais et les expiations.
Ce processus d'essais et les expiations est une opportunité précieuse
pour l'évolution de nos esprits pour que nous puissions devenir meilleur.
Le pardon est le début de cette grande transformation intérieure nécessaire pour
notre développement et la croissance.
Notre maître pendant plus de deux mille ans, Jésus, nous a apporté le mot
de pardon que l'enseignement de la croissance morale et spirituelle
de chacun d'entre nous, parce qu'ils ne peuvent pas pardonner, nous ne pouvons pas
trouver l'amour si inconditionnel que nous dit-il.
Dans la prière du Seigneur, Jésus indique clairement que le pardon est un facteur
important de devenir meilleur, sans le pardon des péchés
sera toujours lié à des sentiments que nous ne soulèvent pas,
il suffit de nous détruire spirituellement.
besoin gratuitement notre cœur tout sentiment que nous
retarder, nous dégoûter de l'âme.
Échapper signifie ne pas succomber à des insultes et des ennuis
que la vie tient, est de réagir positivement face à l'adversité.
Oubliez les insultes, peu importe la façon dont ils sont douloureux nous ne devrions pas
gaspiller une incarnation à la haine, la colère et blessée.
Alors, quand nous oublions que nous sommes en mesure de vraiment pardonner,
me souviens que lorsque nous pardonnons, nous avons pris un poids énorme
et si nous allons un peu de l'évolution.
Essayons donc à la prière comme notre compagnon dans les moments où
l'infraction vient à nous. Il n'y a pas de changement dans nos sentiments,
si nous ne faisons pas notre part.

Message du 16/02/12

Toxicomanies (drogue)

La dépendance chimique que ce soit, parce que l'individu une transformation physique, 
mental et émotionnel, ce qui porte le corps physique et spirituel de grands maux, 
prenant souvent la réalité de la vie. 
Pour surmonter cette dépendance, que le matériau de traitement ne suffit pas, nécessite une 
énorme dose de compréhension et d'amour, sans condamnation ni jugement. 
Parce que qui va par la dépendance a été souvent menée par un 
moment de grande déception ou d'un traumatisme, et non pas nous juger cette condition, 
parce qu'aucun de nous est libre de ce mal. 
Nous ne pouvons pas fermer nos yeux et nos cœurs à cette réalité qui sévit dans 
notre société, notre vie de base et souvent de notre propre famille, 
nous devons être attentifs aux signes de dépendance, car cela prend loin de nos frères 
de la réalité de la vie et met un monde d'illusions. 
Souvent nous rencontrons dans les rues, avec la fratrie livrés à eux-mêmes, 
en fonction de la dépendance et pas la force de lutter contre cette façon, de peur et même 
révulsion face de la rue dans la direction opposée, et c'est la preuve que toujours 
besoin de travailler en nous la compassion, la compréhension et surtout l'amour, 
l'amour que Jésus nous a apporté, libre de toute question sociale ou culturelle. 
Lorsque la dépendance hanter sa vie, de toute façon, toujours réagir 
dans aider, jamais condamner, ne jamais oublier ce que Jésus a dit: 
". Qui n'a jamais fait une erreur jette la première pierre"

samedi 4 février 2012

Celui qui croira sera sauvé

posté le Jeudi, Janvier 26, 2012.

L'espoir est né dans le cœur de l'homme chaque fois qu'il tourne les yeux vers Dieu 
et rien ne peut l'arrêter cette quête, de suivre cette voie. Quiconque croit 
est capable de transformation dans le domaine de l'esprit, renforce la foi 
et donne la force à celui qui soutient qu'il est. 
Peu importe le type de transformation que vous voulez, d'abord rechercher votre foi 
et vous serez en mesure de déplacer des montagnes. La peur peut-être pas votre gêne pour 
la Foi en Christ nie toute difficulté que vous pourriez avoir. 
Lorsque vous êtes en difficulté élève votre esprit et votre cœur 
la recherche de cette force. Vous verrez que l'aide pour le croyant est immédiat, car se sentir 
en sécurité et soutenu. Lorsque vous êtes triste que la foi cherche également que tout 
et ne sera jamais seul. La foi nous conduit aussi à la pensée 
de l'amour et l'attention que nous faisons partie de l'objet par le Christ, qui n'a jamais 
nous abandonne. La foi en Jésus-Christ a également chacun de nous. La foi en notre capacité 
de traitement, d'acceptation, d'apprentissage, de l'amour. 
Lorsque vous sentez que votre transformation commence avec la foi et l'amour et tous recevront 
le plan spirituel que le logement, l'amour et de compréhension. Vous aider à ciel t'aidera! 
Cela exige que la surveillance soit présente. 
Garde tes pensées, des gestes et des actions pour vous et pour les autres. 
Du plus petit détail, la pensée, jusqu'à ce les grandes décisions, 
parce tout ce que vous faites du bien ou mauvais réfléchiront sur
​​vous d'abord 
et ensuite ceux qui vous entourent. Ainsi, remplira votre cœur avec la lumière, 
afin que la lumière soit présente dans votre vie grâce à votre foi

La richesse du silence

SE TAIRE, c’est laisser entrer en soi la connaissance des autres et recueillir

Comme des flots apaisés les bruits de la terre en les dépouillant de toute fièvre.

SE TAIRE, c’est contempler et gagner la confiance du monde et des hommes parce qu’on ne fait pas mine de vouloir s’imposer d’abord.

SE TAIRE, c’est faire naître et grandir en soi ces formes spirituelles capables d’aider au loin d’autres hommes, qui les attendent sans savoir.

SE TAIRE, c’est se donner le courage d’accepter toute douleur et de la porter avec grandeur.

SE TAIRE, seule manière de connaître son cas, sa situation, son être et de se connaître.

 Qui se connaîtra jamais s’il ne s’arrête pas de jouer les personnages agités et fantasques ? Il faut arriver au vrai moi qui, malgré tout, garde au fond de son être, là où ʺon entend le bruit des sourcesʺ, un désir de sincérité et de grandeur, mais auquel les faiseurs de tours batifolant en chacun donnent si peu le loisir de se montrer.

SE TAIRE, c’est se détacher de soi pour mieux se posséder ; se détacher des abus, des gestes, des comédies, pour ne posséder que le centre de son être, commencement du royaume de Dieu dans l’âme ; car c’est là que « LE VERBE

CRÉATEUR HABITE LEUR SILENCE ».

 Qui  ne dira jamais les rencontres, les richesses, les leçons du silence et combien d’hommes ont vu la lumière

POUR AVOIR ESSAYÉ FIDÈLEMENT DE SE TAIRE.



E. MISTIAEN



Comprendre

Il n’y a de foi inébranlable que celle qui peut regarder la raison face à face à tous les âges de l’humanité. A la loi, il faut une base, et cette base c’est l’intelligence parfaite de ce qu’on doit croire : POUR CROIRE, IL NE SUFFIT

PAS DE VOIR, IL FAUT SURTOUT COMPRENDRE.

Extrait de l’évangile selon le Spiritisme : « Le spiritisme, en effet, ne demande pas à être accepté aveuglément : il fait appel à la discussion et à la lumière. »

L’homme de l’habitude est un homme mort ; ce n’est que par la connaissance de soi et par le changement que notre vie se transformera au point de nous donner le bonheur et la joie. Non pas parce que tout sera parfait, le monde étant ce qu’il est et les autres étant ce qu’ils sont, mais par NOTRE FAÇON

DE REGARDER ET DE COMPRENDRE.

Marc Aurèle