"La conquête de la santé ne suffit pas. C'est le progrès de la personne humaine qu'il s'agit d'obtenir. Car la qualité de la vie est plus importante que la vie elle-même" Dr A Carrel.
La médiumnité guérissante ou guérison spirituelle, tentons de la présenter à tous ceux qui veulent la comprendre ou servir leurs frères, dans la voie de la générosité, du sacrifice, de l'abnégation. Devant la douleur de ceux qui pleurent et grâce aux possibilités infinies que les forces de la nature et de Dieu accordent à ceux qui veulent se dévouer; il y a une sainte tâche à remplir. Pour cela, il faut une disposition d'esprit, un don de soi, une confiance totale en l'énergie créatrice, en Dieu, et aux esprits parvenus au stade de bonté qui fait les âmes grandes et généreuses. En rédigeant ce dossier, nous n'avons pas d'autre but que d'apporter au lecteur les bases qui sont celles en lesquelles le rédacteur croit, là encore il s'agit pas de vérité mais de la vérité. Le "guérisseur spirituel" n'a souvent besoin ni de passe ni de contact matériel avec le malade, il peut guérir aussi bien à distance qu'en contact, instantanément ou progressivement, assistés d'esprits bienveillants. La voie dans laquelle le guérisseur s'engage est difficile mais dispensatrice de joies profondes et vraies, joie de l'âme et du coeur. La vision de l'état du médium guérisseur, est celle du guérisseur sous l'angle moral et spirituel. Cela implique bien des abandons et des devoirs. IL s'agit,en premier lieu, de vaincre en soi"le vieil homme" et d'accepter le nouveau, celui qui à la volonté de se rapprocher toujours plus de la spiritualité, de Dieu.
"Pense à Dieu aussi souvent que tu respires" Epitète.
Par là, il voudrait montrer la voie qui mène à la connaissance, à l'atteinte Divin par la prière, car toute pensée de compassion, de bonté, tout élan de la personne vers Dieu, est une une prière et la prière est essentiel à l'action guérissante.La prière quelle que ce soit sa forme, est seule à déclencher les forces pures au bénéfice de la détresse, de la souffrance humaine IL est d'ailleurs constaté que chez les grands guérisseurs mystiques, dignes de cette appellation par la droiture et la dignité de leur vie,la force spirituelle qu'ils reçoivent(accrue par la prière) est d'essence supérieur, elle diffère du fluide magnétique végétal, animal ou humain. Sans aller jusque là dans notre quotidien, nous pouvons tout de même penser que les qualités morales et spirituelles du guérisseur seront dispensatrices de fluides bienfaisants émanent de son propre fluide, allié à celui des esprits qui lui sont supérieurs.Ainsi plus le guérisseur sera en Dieu, l'amour, en la foi, en l'humanité, plus il s'élèvera moralement, plus il bénéficiera des fluides de l'autre monde, parfois à son insu, nous pourrions même dire"souvent" à son insu."Si les médecins échouent dans la plupart des maladies, c'est qu'ils traitent le corps sans l'âme, et que, le tout n'étant pas en bon état, il est impossible que la partie se porte bien."Platon".
"La médecine spirituelle transporte son action dans le plan astral en agissant sur la source même de la vie, réparant les fonctions inconscientes, les tissus.Les maladies sont atteintes dans leurs sources mêmes.Le guérisseur est un foyer de force spirituelle et fluidique, il agit directement sur" l'âme" du malade, la partie malade se modifie sous les mouvements de la force spirituel changent progressivement la vitesse de leurs vibrations.L'harmonie alors se rétablit. Les vibrations lumineuses et régulières qui lui sont envoyées par le guérisseur, qui les reçois" d'en haut", rétablissent les vibrations irrégulières du malade."Une condition favorable est que dans la vie privée, la conscience humaine ait la volonté de s'ouvrir au principe Divin, se montre capable de recevoir la vie mise à sa portée par" le don du guérisseur"nous explique le Dr Bertolet.
Ceci voudrait-il dire aussi que le malade doit être partie prenante de sa guérison? Nous dirons oui et non, dans le sens où le malade est convaincu par la guérison spirituelle, plus celle-ci aura un effet puissant sur lui.Que dire alors des animaux ou des bébés, qui guérissent ainsi particulièrement bien( l'action guérissante est parfois fulgurante chez les animaux) puisqu'ils" n'accepte pas"? Nous en déduirons que si le malade n'est pas partie prenante des soins spirituels, il ne doit pas la refuser( psychologiquement) il doit se laisser faire. Qu'il soit dans le doute au départ, n'est pas un obstacle, mais s'il est intimement convaincu que cela ne se peut, alors le guérisseur ne pourra rien pour lui, sauf a lui prodiguer des soins à distance, sur photo ou par la pensée, à son insu bien sûr, pour qu'il n'y ait pas blocage. La faculté guérissante, véritable bienfait pour celui qui, l'ayant méritée, la possède et la pratique avec humilité et désintéressement, est une récompense de tous les instant.
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