La clairvoyance ou divination qui est cette faculté de l’âme de percevoir, à l’état de veille, les événements passés et à venir, aussi bien dans le domaine physique que dans le monde intellectuel. Ce don s’exerce à travers le temps et la distance, indépendamment de toutes causes humaines d’information. La divination a été pratiquée dans tous les temps. Son rôle, dans l’antiquité, était considérable, et quelle que soit la part qu’on doive faire à l’hallucination, à l’erreur, à la supercherie, il n’est plus possible, après les constatations récentes de la psychologie transcendantale, de rejeter en masse les faits de cet ordre, attribués aux prophètes, aux oracles et aux sibylles.
On en trouve au moyen âge comme par exemple lorsque Jean Huss annonce, sur son bûcher, la venue de Luther.
Jeanne d’Arc, dès Domremy, avait prédit la délivrance d’Orléans et le sacre de Charles VII. Elle annonce qu’elle sera blessée devant Orléans. Une lettre écrite par le chargé d’affaires de Brabant, le 22 avril 1429, quinze jours avant l’événement, et conservée aux archives de Bruxelles, contient ce passage : « Elle a prédit qu’elle sera blessée d’un trait pendant l’assaut, mais qu’elle ne mourra pas ; que le roi sera sacré à Reims l’été prochain. » Elle prophétise sa captivité et sa mort. Sur les fossés de Melun, ses « voix » l’avaient avertie qu’elle serait livrée aux Anglais avant la Saint-Jean. Durant le procès, elle annonce, avant sept ans, l’expulsion complète des Anglais. Puis, dans toute cette vie merveilleuse, ce sont des prophéties d’un ordre plus secondaire : à Chinon, la mort d’un soldat qui la raillait et qui, le soir même, se noya dans la Vienne ; à Orléans, la mort du capitaine Glasdale ; la délivrance de Compiègne avant la Saint-Martin d’hiver, etc.
Plus proches de nous, on peut citer d’autres cas de clairvoyance.
Par exemple, dans les Annales des Sciences psychiques de 1896, on rapporte que lady A.... ayant été victime d’un vol à Paris et l’on a pu découvrir, par une médium en état de veille, l’auteur du délit, dont elle était loin de soupçonner, avec tous les détails très compliqués, de ce vol. Le coupable n’était autre que Marchandon, un de ses domestiques, qui, par ses bonnes manières, avait acquis l’entière confiance de sa maîtresse et devint plus tard un assassin.
Par exemple, dans les Annales des Sciences psychiques de 1896, on rapporte que lady A.... ayant été victime d’un vol à Paris et l’on a pu découvrir, par une médium en état de veille, l’auteur du délit, dont elle était loin de soupçonner, avec tous les détails très compliqués, de ce vol. Le coupable n’était autre que Marchandon, un de ses domestiques, qui, par ses bonnes manières, avait acquis l’entière confiance de sa maîtresse et devint plus tard un assassin.
Tiré du livre d’Ernest Bozzano, des phénomènes prémonitoires, on peut lire dans le VIIe cas qu’au printemps de l'année 1869, la célèbre cantatrice Giulia Grisi eut une étrange vision : elle vit apparaître à son chevet le fantôme de sa fillette Bella, morte à Brighton en 1861, qui annonça qu'elles seraient bientôt réunies pour toujours. Le ténor Mario ne négligea rien pour dégager l'esprit de la Grisi de l'état d'abattement où elle était tombée, mais toute tentative fut inutile ; elle se montrait convaincue de la réalité de sa vision, et par conséquent sûre de sa fin imminente... La grande cantatrice Giulia Grisi mourait, le 5 novembre 1869. Son dernier mot prononcé fut le nom de son enfant défunte... Elle s'était subitement soulevée et assise sur son lit, avait ouvert les bras comme pour y recevoir une personne invisible, avait murmuré : « Bella ! » et était retombée sur ses oreillers en exhalant le dernier soupir.
Toujours du même ouvrage, voici un autre exemple. Il s’agit du cas XLIXeme et il est raconté par William Stead. « Il y a quelques années, j'avais comme employée une dame d'un talent vraiment remarquable, mais d'un caractère inégal et d'une santé moins que robuste. Elle devint si impossible qu'en janvier, je songeais sérieusement à me séparer d'elle, quand « Julia[1] » écrivit par ma main :
- Soyez patient avec E. M. Elle viendra nous rejoindre ici avant la fin de l'année.
Je fus stupéfait, car rien ne m'autorisait à supposer qu'elle allait mourir. Je reçus l'avis sans rien dire du message, et continuai d'employer cette dame. C'était, si j'ai bonne mémoire, le 15 ou le 16 janvier, que cet avertissement m'avait été donné.
Il me fut répété en février, mars, avril, mai et juin, et chaque fois le message était comme une espèce de conclusion d'une communication plus étendue :
- Rappelez-vous que E. M. aura cessé de vivre avant la fin de l'année.
En juillet, E. M. avala par mégarde un petit clou ; il se logea dans l'intestin et elle devint gravement malade. Les deux médecins qui la soignaient n'avaient pas d'espoir de la sauver. Dans l'intervalle, « Julia » m'écrivait avec ma main.
- C'est sans doute, lui demandai-je, ce que vous prévoyiez quand vous me prédisiez que E. M. mourrait ?
A mon extrême surprise, la réponse fut :
- Non, elle guérira de ceci, mais quand même, elle succombera avant la fin de l'année.
E. M. se rétablit tout à coup, au grand étonnement des médecins, et elle put reprendre bientôt ses travaux accoutumés. En août, septembre, octobre, novembre, l'avis de sa fin prochaine me fut communiqué de nouveau à l'aide de ma main. En décembre, E. M. fut atteinte de l'influenza.
- C'est cela ? Demandai-je à « Julia ».
- Non, elle ne viendra pas ici de façon naturelle, mais quoi qu'il en soit, elle viendra avant l'expiration de l'année.
J'étais alarmé, mais je savais que je ne pouvais pas empêcher l'événement. Vint la Noël. E. M. était très malade. Mais l'année s'écoula et elle vivait encore. « Julia » repartit :
- Je puis m'être trompée de quelques jours, mais ce que j'ai dit est vrai.
Vers le 10 janvier, « Julia » m'écrivit :
- Vous verrez E. M. demain ; faites-lui vos adieux. Prenez tous les arrangements nécessaires. Vous ne la reverrez plus sur la terre.
J'allai la trouver. Elle avait la fièvre avec une mauvaise toux. On allait la transporter à un hôpital où elle aurait été mieux soignée. Elle me parla tout le temps de ce qu'elle allait faire pour terminer ses travaux. En lui disant adieu, je me demandai si « Julia » ne faisait pas erreur.
Deux jours après, je reçus un télégramme m'informant qu’E. M. s'était jetée par une fenêtre du quatrième étage dans un accès de délire et qu'on l'avait ramassée morte. La date n'avait dépassé que de quelques jours les douze mois dont avait parlé le premier message.
Je puis prouver l'authenticité de ce récit par le manuscrit même des messages originaux et par l'attestation contresignée de mes deux secrétaires, à qui, sous le sceau du secret, j'avais communiqué les avertissements de « Julia ».
- Soyez patient avec E. M. Elle viendra nous rejoindre ici avant la fin de l'année.
Je fus stupéfait, car rien ne m'autorisait à supposer qu'elle allait mourir. Je reçus l'avis sans rien dire du message, et continuai d'employer cette dame. C'était, si j'ai bonne mémoire, le 15 ou le 16 janvier, que cet avertissement m'avait été donné.
Il me fut répété en février, mars, avril, mai et juin, et chaque fois le message était comme une espèce de conclusion d'une communication plus étendue :
- Rappelez-vous que E. M. aura cessé de vivre avant la fin de l'année.
En juillet, E. M. avala par mégarde un petit clou ; il se logea dans l'intestin et elle devint gravement malade. Les deux médecins qui la soignaient n'avaient pas d'espoir de la sauver. Dans l'intervalle, « Julia » m'écrivait avec ma main.
- C'est sans doute, lui demandai-je, ce que vous prévoyiez quand vous me prédisiez que E. M. mourrait ?
A mon extrême surprise, la réponse fut :
- Non, elle guérira de ceci, mais quand même, elle succombera avant la fin de l'année.
E. M. se rétablit tout à coup, au grand étonnement des médecins, et elle put reprendre bientôt ses travaux accoutumés. En août, septembre, octobre, novembre, l'avis de sa fin prochaine me fut communiqué de nouveau à l'aide de ma main. En décembre, E. M. fut atteinte de l'influenza.
- C'est cela ? Demandai-je à « Julia ».
- Non, elle ne viendra pas ici de façon naturelle, mais quoi qu'il en soit, elle viendra avant l'expiration de l'année.
J'étais alarmé, mais je savais que je ne pouvais pas empêcher l'événement. Vint la Noël. E. M. était très malade. Mais l'année s'écoula et elle vivait encore. « Julia » repartit :
- Je puis m'être trompée de quelques jours, mais ce que j'ai dit est vrai.
Vers le 10 janvier, « Julia » m'écrivit :
- Vous verrez E. M. demain ; faites-lui vos adieux. Prenez tous les arrangements nécessaires. Vous ne la reverrez plus sur la terre.
J'allai la trouver. Elle avait la fièvre avec une mauvaise toux. On allait la transporter à un hôpital où elle aurait été mieux soignée. Elle me parla tout le temps de ce qu'elle allait faire pour terminer ses travaux. En lui disant adieu, je me demandai si « Julia » ne faisait pas erreur.
Deux jours après, je reçus un télégramme m'informant qu’E. M. s'était jetée par une fenêtre du quatrième étage dans un accès de délire et qu'on l'avait ramassée morte. La date n'avait dépassé que de quelques jours les douze mois dont avait parlé le premier message.
Je puis prouver l'authenticité de ce récit par le manuscrit même des messages originaux et par l'attestation contresignée de mes deux secrétaires, à qui, sous le sceau du secret, j'avais communiqué les avertissements de « Julia ».
Dans le livre du Dr Kerner : La Voyante de Prévorst, à la page 15, on peut lire : « Un matin, quittant la pièce pendant une visite du médecin, elle vit dans le hall un cercueil qui lui barrait le chemin et contenait le corps de son grand-père paternel. Elle rentra dans la chambre et pria le médecin et ses parents de venir le voir ; mais ils ne purent rien voir et elle-même ne l'aperçut plus. Le lendemain matin, le cercueil, avec le même corps dedans, était à côté de son lit. Six semaines plus tard son grand-père mourut, après avoir joui d'une parfaite santé jusqu'aux quelques derniers jours qui précédèrent sa mort ».
Il existe une autre faculté qui permet cette communication entre les deux mondes et que beaucoup possèdent, c’est le pressentiment ou plus couramment appeler l’intuition. Ce pressentiment est généralement vague et confuse mais parfois il peut être très clair. Cette faculté se rencontre fréquemment dans certains pays, par exemple, dans les hautes terres d’Écosse, en Bretagne, en Allemagne, en Italie. Partout autour de nous, nous pouvons recueillir des faits de pressentiment, appuyés sur des témoignages non équivoques. Ils sont nombreux et nous pouvons en citer des exemples.
Tiré du Bulletin de la Société des Études psychiques de Nancy de 1902, voici l’histoire que le colonel Collet rapporte de son beau-père, M. Vigneron. Celui-ci était chasseur et pêcheur émérite, il sortait presque chaque jour pour se livrer à ses plaisirs favoris, sans que sa femme n’en conçût aucune inquiétude. Un jour, cependant, elle voulut l’empêcher d’aller à la pêche, ayant le pressentiment qu’il se noierait. Mais le mari n’en tint pas compte, et le soir, en rentrant, il la plaisanta sur la puérilité de ses craintes. Le lendemain, il avouait en secret à son gendre que, sa barque ayant chaviré, il n’avait pu sortir de l’eau et de la vase où il s’enfonçait que grâce à une branche de saule saisit à temps. Il avait fait sécher ses vêtements et les avait nettoyés avant de rentrer.
Dans le Monde des Rêves, le docteur Max Simon rappelle un fait de même nature : « Un jeune docteur allemand, venant de rendre visite à ses parents, rencontra deux officiers et convint avec eux de prendre la poste. Au moment de monter en voiture, il fut arrêté par une influence inconnue. Malgré les instances des officiers, il ne put se décider à partir. A peine étaient-ils en route, que l’influence se dissipa. Le jeune docteur saisit donc la première occasion pour continuer son voyage. En arrivant sur les bords de l’Elbe, il aperçut un rassemblement. Les deux officiers avaient été noyés dans le fleuve, où la voiture était tombée. »
Dans le Monde des Rêves, le docteur Max Simon rappelle un fait de même nature : « Un jeune docteur allemand, venant de rendre visite à ses parents, rencontra deux officiers et convint avec eux de prendre la poste. Au moment de monter en voiture, il fut arrêté par une influence inconnue. Malgré les instances des officiers, il ne put se décider à partir. A peine étaient-ils en route, que l’influence se dissipa. Le jeune docteur saisit donc la première occasion pour continuer son voyage. En arrivant sur les bords de l’Elbe, il aperçut un rassemblement. Les deux officiers avaient été noyés dans le fleuve, où la voiture était tombée. »
Dans les Annales des Sciences psychiques d’août 1905, il y a également ce récit qui a été publié :
« Un certain Marino Tonelli, âgé de 127 ans, habitant Rancidello (République de Saint-Marin), rentrait chez lui dans sa voiture, le soir du 13 juin. Il s’était assoupi et se trouvait à un endroit dangereux de la route connu sous le nom de Coste di Borgo, lorsque tout à coup une forte secousse le réveilla. Il se trouva étendu dans un champ, au fond d’un petit ravin où il venait de rouler avec son cheval et sa voiture. M. Tonelli non blessé avait commencé, avec l’aide de plusieurs personnes accourues, à procéder au sauvetage de l’équipage lorsqu’il vit, à son grand étonnement, apparaître sa mère.
« Un certain Marino Tonelli, âgé de 127 ans, habitant Rancidello (République de Saint-Marin), rentrait chez lui dans sa voiture, le soir du 13 juin. Il s’était assoupi et se trouvait à un endroit dangereux de la route connu sous le nom de Coste di Borgo, lorsque tout à coup une forte secousse le réveilla. Il se trouva étendu dans un champ, au fond d’un petit ravin où il venait de rouler avec son cheval et sa voiture. M. Tonelli non blessé avait commencé, avec l’aide de plusieurs personnes accourues, à procéder au sauvetage de l’équipage lorsqu’il vit, à son grand étonnement, apparaître sa mère.
Cette pauvre femme, pleurant d’émotion, l’embrasse et lui demande s’il ne s’est fait aucun mal. Elle ajoute :
- Je t’ai vu, sais-tu ? Je ne parvenais pas à m’endormir ; ta femme et les deux petites dormaient depuis longtemps déjà, mais moi j’éprouvais une agitation, un malaise extraordinaire, nouveau, que je ne parvenais pas à m’expliquer. Tout à coup, je vis apparaître devant moi ce chemin, exactement cet endroit, avec le ravin à côté ; je vis la voiture se renverser et toi précipité dans ce champ ; tu m’appelais à ton secours. Enfin, j’éprouvais le besoin irrésistible de venir ici, et sans réveiller personne, me raidissant contre la peur de la solitude, de l’obscurité et du temps orageux, me voici, après avoir fait 4 kilomètres. »
D’après une enquête faite, l’inquiétude de la mère précéda de quelques heures la vision de l’accident, et celui-ci eut lieu trois quarts d’heure après la vision, c’est-à-dire le temps nécessaire pour parcourir à pied la distance qui sépare la maison des Tonelli du lieu de l’accident.
- Je t’ai vu, sais-tu ? Je ne parvenais pas à m’endormir ; ta femme et les deux petites dormaient depuis longtemps déjà, mais moi j’éprouvais une agitation, un malaise extraordinaire, nouveau, que je ne parvenais pas à m’expliquer. Tout à coup, je vis apparaître devant moi ce chemin, exactement cet endroit, avec le ravin à côté ; je vis la voiture se renverser et toi précipité dans ce champ ; tu m’appelais à ton secours. Enfin, j’éprouvais le besoin irrésistible de venir ici, et sans réveiller personne, me raidissant contre la peur de la solitude, de l’obscurité et du temps orageux, me voici, après avoir fait 4 kilomètres. »
D’après une enquête faite, l’inquiétude de la mère précéda de quelques heures la vision de l’accident, et celui-ci eut lieu trois quarts d’heure après la vision, c’est-à-dire le temps nécessaire pour parcourir à pied la distance qui sépare la maison des Tonelli du lieu de l’accident.
La prémonition et les pressentiments sont difficiles à analyser au point de vue scientifique. Ils ne sont explicables qu’en certains cas, lorsque l’événement pressenti a des précédents, subjectifs ou objectifs. Mais, dans la plupart des cas, rien, dans les faits annoncés, ne se prête à l’idée de succession ou d’enchaînement.
D’où vient le pouvoir de certaines âmes de lire dans l’avenir ? Question obscure et profonde, qui donne le vertige comme l’abîme et qu’on ne pose pas sans trouble, car, instinctivement, nous la sentons presque insoluble pour notre faible science.
Mais n’est-ce pas de notre élévation vers Dieu que découlent les forces vives, les secours spirituels, tout ce qui nous fait plus grands et meilleurs ? Chacun de nous a, dans les profondeurs de son être, comme une issue ouverte sur l’infini. Dans l’état de dégagement psychique : rêve, extase, transe, le cercle de nos perceptions peut s’élargir dans des proportions incalculables ; nous entrons en rapport avec l’immense hiérarchie des âmes et des puissances célestes. De degré en degré, l’esprit peut remonter jusqu’à la cause des causes, jusqu’à l’intelligence divine, pour qui le passé, le présent, le futur se confondent en un tout et qui, de l’ensemble des faits connus, sait déduire toutes les conséquences.
D’où vient le pouvoir de certaines âmes de lire dans l’avenir ? Question obscure et profonde, qui donne le vertige comme l’abîme et qu’on ne pose pas sans trouble, car, instinctivement, nous la sentons presque insoluble pour notre faible science.
Mais n’est-ce pas de notre élévation vers Dieu que découlent les forces vives, les secours spirituels, tout ce qui nous fait plus grands et meilleurs ? Chacun de nous a, dans les profondeurs de son être, comme une issue ouverte sur l’infini. Dans l’état de dégagement psychique : rêve, extase, transe, le cercle de nos perceptions peut s’élargir dans des proportions incalculables ; nous entrons en rapport avec l’immense hiérarchie des âmes et des puissances célestes. De degré en degré, l’esprit peut remonter jusqu’à la cause des causes, jusqu’à l’intelligence divine, pour qui le passé, le présent, le futur se confondent en un tout et qui, de l’ensemble des faits connus, sait déduire toutes les conséquences.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire